Top six des arts martiaux pouvant être utilisés dans la vie réelle

Lorsque l’UFC a vu le jour, il s’agissait d’un concours visant à déterminer quel art martial était réellement le plus efficace. En tant que tel, les combats originaux de l’UFC étaient censés imiter le plus fidèlement possible un scénario réel de combat à mains nues. Ce que nous avons aujourd’hui dans l’UFC, bien que toujours génial, est largement différent d’un combat réel.

Dans les combats réels, toutes les prises sont légales, donc les règles actuelles du MMA qui interdisent les coups de tête, les coups à l’aine et la manipulation des petites articulations ne s’appliquent pas. Plus on applique de règles au MMA, moins le MMA représente les vrais combats. Par conséquent, si un combattant de MMA combattait quelqu’un dans un combat de rue aujourd’hui, il serait peut-être surpris que son adversaire lui donne un coup de tête depuis sa garde ou tente de lui arracher les yeux. Le combattant MMA d’aujourd’hui ne s’entraîne pas sur la façon de défendre ces attaques.

Voici le top 6 des arts martiaux qui peuvent être utilisés dans de vrais combats…

La lutte gréco-romaine

Vous n’allez pas pouvoir achever un adversaire avec la lutte, mais si vous êtes dans un scénario réel de combat à mains nues, la lutte peut être votre meilleure chance de neutraliser votre adversaire.

En lutte, l’accent est mis sur les takedowns et le contrôle de votre adversaire avec votre grappling. Même si cela n’infligerait pas autant de dégâts à votre adversaire que vous le souhaiteriez, c’est très efficace.

Bien que le jiu-jitsu brésilien soit souvent considéré comme la discipline d’arts martiaux qui a dominé les premiers UFC, ce n’est pas longtemps après le départ de Royce Gracie que les lutteurs amateurs ont commencé à prendre le relais. Mark Coleman est devenu le parrain du ground and pound lorsqu’il a commencé à battre les meilleurs combattants du monde avec son style de lutte basé sur les takedowns et les coups de poing. Bien que les coups de poing ne soient pas autorisés dans la lutte amateur (à condition que l’arbitre le remarque), ils constituent un ajout facile à ce style de combat qui s’avérerait pratique dans un vrai combat.