Bien que les changements apportés aux directives de l’assurance-maladie aient aidé beaucoup plus d’Américains à s’assurer qu’avant l’ACA, le coût de l’assurance-maladie reste élevé. Lorsqu’elles cherchent à réduire leurs primes d’assurance maladie, certaines personnes considèrent les Health Care Sharing Ministries (HCSM) ou le partage médical comme l’une des options permettant de réduire les coûts. Il est important de comprendre que les réseaux de partage médical ne sont pas des régimes d’assurance. Ce sont plutôt des organisations à but non lucratif ou caritatives enregistrées.
On compte plus d’un million de participants au partage des soins de santé, avec 100 ministères de partage des soins de santé enregistrés à travers le pays. Le partage médical est un moyen pour les personnes ayant des croyances, des valeurs et des choix de style de vie similaires de partager leurs factures médicales. Voici ce que vous devez savoir sur le partage médical pour décider si cette idée peut (ou non) bien fonctionner pour vous
Qu’est-ce que le partage médical et comment fonctionne-t-il ?
Parfois appelés société de partage médical ou organisation de partage des coûts médicaux, les réseaux de partage médical ne sont pas des compagnies d’assurance. Le concept de fonctionnement est similaire à celui d’une compagnie d’assurance maladie.
Pour comprendre le fonctionnement d’un plan de partage médical, vous devez d’abord comprendre le fonctionnement d’un plan d’assurance maladie typique : Le plan d’assurance maladie aura un grand nombre de personnes assurées, si le fournisseur d’assurance maladie est conforme à l’ACA, alors les personnes dans le plan peuvent avoir des conditions préexistantes puisque cela n’est pas exclu par les plans ACA. Toutes ces personnes différentes avec des conditions préexistantes variées et des choix de style de vie divers seront toutes sur le même plan de soins de santé et donc elles « partagent » toutes les coûts médicaux.
Les plans de partage médical ne sont pas une assurance, et ils ne garantissent pas les paiements basés sur un contrat comme une police d’assurance. Ils n’ont pas d’exigences qui les obligent à accepter des membres ayant des conditions préexistantes. Ce sont des organisations caritatives à but non lucratif qui collectent des fonds auprès des membres. Lorsqu’un membre a des frais médicaux, il peut demander l’aide du plan de partage pour payer les factures.
Ce système est différent de l’assurance, qui est guidée par un contrat spécifique qui décrit clairement ce qui est ou n’est pas couvert, le montant payé et la part que chaque assuré doit payer.
Les plans de partage médical ont-ils des franchises ?
Les plans de partage des frais médicaux peuvent ne pas utiliser la même terminologie que celle que vous entendez dans les assurances, comme les franchises et les primes, car il ne s’agit pas d’une assurance. Par exemple, dans une assurance, la franchise est votre part de la prime. Dans le ministère du partage médical, vous pouvez en entendre parler comme d’un » montant de la part » ou d’un » montant de la part familiale « .
Quels sont les avantages du partage médical ?
En raison de la façon dont le partage des coûts est organisé, les plans de partage médical offrent quelques avantages, comme la possibilité de négocier des coûts plus bas pour les services de santé en permettant aux participants de payer en espèces. Le paiement en espèces présente plusieurs avantages lorsqu’il s’agit de factures médicales. L’un d’eux est que lorsque vous payez en espèces à l’avance, vous pouvez être en mesure d’obtenir un rabais.
Le partage médical offre également un autre avantage aux participants : Il ne limite pas les gens à des réseaux de prestataires de santé spécifiques, car il n’y a pas de « réseau ». Si vous êtes membre d’un ministère de partage des soins de santé, vous pouvez choisir d’obtenir vos services médicaux où vous voulez.
Parce que les membres peuvent choisir où ils obtiennent leurs services médicaux, ils peuvent ne pas être limités à leur état, ou même à leur pays comme les gens le sont avec de nombreux plans d’assurance maladie. Chaque ministère pourra déterminer ses critères de paiement.
Si vous souhaitez en savoir plus, examinez les alternatives de soins primaires directs.
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