- Causes
- Transmission
Causes
Coqueluche, une maladie respiratoire communément appelée coqueluche, est une maladie très contagieuse causée par un type de bactérie appelée Bordetella pertussis. Ces bactéries se fixent sur les cils (minuscules extensions ressemblant à des cheveux) qui tapissent une partie du système respiratoire supérieur. Les bactéries libèrent des toxines (poisons) qui endommagent les cils et provoquent le gonflement des voies respiratoires.
Transmission
La coqueluche est une maladie très contagieuse qui ne se rencontre que chez l’homme. La coqueluche se propage de personne à personne. Les personnes atteintes de coqueluche transmettent généralement la maladie à une autre personne en toussant ou en éternuant, ou en passant beaucoup de temps près les unes des autres où vous partagez un espace de respiration. De nombreux bébés qui contractent la coqueluche sont infectés par des frères et sœurs plus âgés, des parents ou des soignants qui ne savent peut-être même pas qu’ils ont la maladie.
Les personnes infectées sont les plus contagieuses jusqu’à environ 2 semaines après le début de la toux. Les antibiotiques peuvent raccourcir la durée de contagion d’une personne.
Bien que les vaccins contre la coqueluche soient l’outil le plus efficace pour prévenir cette maladie, aucun vaccin n’est efficace à 100 %. Lorsque la coqueluche circule dans la communauté, il y a une chance qu’une personne entièrement vaccinée, quel que soit son âge, puisse attraper cette maladie. Si vous avez reçu le vaccin contre la coqueluche mais que vous tombez quand même malade, l’infection est généralement moins grave.
- Bisgard KM, Pascual FB, Ehresmann KR, et al. Coqueluche infantile : qui était la source ?icône externe Pediatr Infect Dis J. 2004;23:985-89.
- Skoff TH, Kenyon C, Cocoros N, et al. Sources des infections de coqueluche infantile aux États-Unisicône externe. Pediatrics. 2015;136:635-41.
- Wendelboe AM, Njamkepo E, Bourillon A, et al. Transmission de Bordetella pertussis aux jeunes nourrissonssexternal icon. Pediatr Infect Dis J. 2007;26:293-99.
0 commentaire